- BANDE D'INCAPABLE !! ET VOUS VOUS DITES ENVOYE PAR L'ARMEE ?! MAIS QUELLE FORMATION DE BOUZEUX AVEZ-VOUS DONC FAIT ?!!

J'hurlais, hors de moi, après mes secrétaires. C'était habituel, mais cette fois, s'en était trop. Louper 3 rendez-vous avec le chef des armées de l'Angleterre d'affilé, c'était plus que se que je ne pouvais supporter ! Je frappais de mon poing sur le bureau des secrétaires et brisais celui ci en deux avant de m'en aller hors de l'hôpital, en rage. J'avais besoin de me calmer. J'errais ainsi sur les chemins, les poings serrés et les sourcils froncés. Mais qui avait bien pus me foutre une bande d’incapables pareilles ?!! Raaah !!

Au bout de plusieurs longues minutes, j’aperçus enfin la mer. Personne ne venait jamais ici, sur cette plage. J'observais l'horizon. Je savais qu'au delà de cette mer, il n'y avait rien. Cet océan infini se perdait dans les abysses du monde dans lequel nous nous trouvions, sans aucune possibilité de retour... Au fond, cet hôpital ressemblait plus à une prison qu'autre chose, même pour moi...

Je me frayais un passage parmi les rocher jusqu'à un petit bout de plage caché entre ses derniers, très intime. Je m'allongeais sur le sable chaud et sec, me sentant m'enfoncer légèrement dans les grains, et contemplais le ciel bleu, rose, rouge, mauve et orangé du soleil couchant... De ce faux soleil qui permettais à ces vampire de vivre...

Je sentais l'air frais caresser mon corps, et les embruns, se perdrent sur ma peau. Tout cela m'apaisait, mais serait-ce assez ? Le sable chauffé par le soleil réchauffait ma peau gelée d'une incroyable et douce chaleur enivrante... Cette chaleur était presque la même que lorsque j'étais dans ces bras.... Ces bras que j'aimais tant... Ceux de Fujiwara-sensei, ceux de mon doux Hikaru...

Je M'abandonnais à mes songes, Bercé par le son des Vagues, Fermant les yeux pour mieux voir son image encor et encor...

- "BANDE D'INCAPABLE !! ET VOUS VOUS DITES ENVOYE PAR L'ARMEE ?! MAIS QUELLE FORMATION DE BOUZEUX AVEZ-VOUS DONC FAIT ?!!"

Je soupirai, assit au bar qui se trouvai à l'accueil et qui donnait directement près de la sortie de l'hôpital.
Depuis cette fameuse sortie dans la forêt, nous devions garder notre relation secrète et faire comme si rien n'avais changé mais je dois avouer que cela devenait difficile de résister à chacune de ses avances, surtout que j'avais constamment besoin de le sentir contre moi comme cette nuit là...
Je l'aperçu alors passé dans le hall en direction de la sortie, visiblement énervé vu la façon dont il venait d'hurler et sa façon de marcher.
Je n'avais plus de blessé à soigné vu l'heure il n'y aurait plus beaucoup d'urgences maintenant, ça ne serait pas une mauvaise idée de le retrouvé ne serait-ce que pour l'embrasser tranquillement, vu que nous nous voyions très peu tout les deux...

Après avoir payé mon verre de whisky, je décidai de le suivre lentement, ne voulant pas me faire remarquer durant le chemin.

Mais qu'est-ce qu'il se passait dans ma tête pour que je sois aussi autant attiré par lui? J'étais devenu fou... et encore, avoir des sentiments passait mais lui faire carrément une fellation en plein milieu de la forêt sans même que j'y réfléchisse avant et pire, je venais tout juste de comprendre ce que je ressentais, c'est pas comme si nous sortions ensemble depuis longtemps! Mon dieu... je devais peut-être être atteint d'une maladie encore inconnue... Je n'étais pas homo et ça ne me plaisait pas tout ça! Du moins c'est ce que je me force à penser...
Il finit par s'arrêter à la plage qui bordait l'île et s'allongea derrière des rochers. Sans faire de bruit, je m'approchai pour mieux voir, pris par une envie folle de le reluquer. C'était tellement étrange... Le voir là, avec sa chemise à moitié ouverte, apaisé et seul dans la clarté du coucher de soleil me rendait heureux mais horriblement triste d'être aussi loin et de ne le voir que très peu... J'étais vraiment amoureux, il n'y avait aucun doute là dessus désormais...

Voyant qu'il avait les yeux fermés, je marchai jusqu'à cette plage où il était couché et m'agenouillai devant lui, posant ma main sur son torse à demi dénudé. Il ouvrit les yeux mais je ne lui laissai pas le temps de dire quoi que se soit, posant délicatement mes lèvres sur les siennes et posai mon autre main derrière sa nuque pour le forcer à s'assoir tout en continuant de l'embrasser, y insérant peu à peu ma langue.

Je m’endormais presque, perdu dans de doux songes dans lesquels nous étions réunis. Ah ! Comme j’aurais aimé qu’il soit la, près de moi… Sentir son souffle, entendre sa voix, pouvoir le toucher, sentir son odeur et son cœur battre contre le mien… C’est alors que je sentis une froide caresse sur le torse. Par réflexe, j’ouvris les yeux et me redressais. Je crus rêver lorsque je reconnus les lèvres de mon tendre amant se poser contre les miennes… Sa langue venant caresser la mienne dans un long et doux langoureux baisé…

Nous décollâmes très lentement nos lèvres, et je le regardais, stupéfait. Etais-je endormi, dans un rêve ? Ou… étais-il vraiment là, à mes cotés ? Je doutais, tellement c’était trop beau pour être vrai… Mais m’abandonnant à mon désir pour lui, je le tirais contre moi et l’embrassais de plus belle, serrant son corps contre le mien.

- Tu m’as manqué, dis-je en souriant.

Je me pinçais pour me prouver que j’étais éveillé, plus heureux que jamais, ma colère aillant disparut depuis qu’il était la. Quel bonheur pouvais être plus grand que celui de retrouver enfin votre amant, votre plus grand amour, en tête à tête sur une plage déserte, devant un magnifique soleil couchant, un soir d’automne ? Mon dieu, quel tableau romantique…

Mais même ce magnifique couché de soleil était moins brillant que mon doux Hikaru en cette somptueuse soirée…

Je continuai de caresser délicatement sa langue avec la mienne durant un moment, perdu dans mes pensées et finit par sentir ses lèvres se détacher.
Croisant ses yeux, je me mis à rougir et détournai lentement le regard, pris par une panique encore inconnue. Je ne savais pas ce qui me prenais d'être aussi embarrassé, ce n'était pas mon genre, j'étais plutôt le séducteur... Une sensation assez perturbante, je dois dire, car je ne le faisais pas exprès.

Tandis que je me perdais de nouveau dans mes songes, il m'attira contre lui pour m'embrasser, pressant mon corps contre le sien.
Je m'accrochai alors mollement à sa chemise entrouverte, étant pris par des frissons dans tout le corps et il détacha de nouveau ses douces lèvres, murmurant avec un faible sourire:

- "Tu m’as manqué"

Je glissai légèrement sur le côté pour m'agenouiller sur le sable, lorgnant de nouveau son corps, troublé d'être autant attiré par ce torse plat et finement musclé, je me mis à réfléchir quelques instants et repensai à la dernière fois, à son corps totalement nu juste devant moi. Je secouai alors la tête pour chasser ses pensées perverses et le rallongeai sur le sable, l'enjambant pour m'assoir sur son ventre.
J'avais de plus en plus de mal à retenir mon excitation, luttant contre mon esprit pour ne pas lui montrer que j'étais juste un petit pervers qui ne pense qu'à ça et finit par m'allonger sur lui, posant mon visage contre son torse froid.

- "Oh? Mon boss comprends t-il enfin le mot «manque» ?"

Je ricanais un peu géné, e passais mes bras autour de lui pour le serrer contre moi.

- J'ai encore du mal à le croir moi-même, mais lorsque tu n'es pas dans mes bras, je suis constament en manque, dis-je, le blottissant contre moi.

C'était vrai. Lorsqu'il n'était pas là, j'étais deux fois plus colèrique que d'Habitude. Sa présence, ses bras, son odeur, sa voix... Lui tout entier me manquait constament. J'en regrettais de m'être fait detester de tous, et de devoir cacher notre relation aux yeux du monde. Mais qu'importait, tant qu'il ne quittait pas mes bras.

J'étais moi-même très surpris de mon comportement vis à vis de lui. Je n'avais jamais été gentil ou attentioné avec quiquonque. je n'avais toujours aimé que moi, je ne m'étais jamais soucié du sortde quelqu'un d'autre, et n'avais jamais dépendu des paroles, des actes ou des décision d'un autre que moi. Et me voila lié à un vieu médecin VAMPIRE de plusieurs siecle ! Avais-je perdu la tête ?!!! Surement, oui....

Car à ce moment là, Vampire ou non, je ne pus m'empecher de l'allonger doucement sur le sable chaud, me plaçant au dessus de lui pour defaire lentement sa chemise, Mon coeur completement entravé par le sien.

- J'ai encore du mal à le croir moi-même, mais lorsque tu n'es pas dans mes bras, je suis constament en manque.

Je baissai la tête, un peu perturbé par ses mots. Une douce brise venait caresser ma joue, la chaleur qu'elle procurait était présente malgré ma peau froide. Le silence qui régnait fut glacial, presque incommode et le ciel n'était plus qu'un sombre voile sans aucune étoile, tout était terne mais à l'instant où il m'allongea sur le sable, l'émotion qui s'empara de moi fut aussi ardente que la lueur de ses yeux, mon rythme cardiaque, bien qu'inutile dans ma nature, s'accéléra au point d'entendre mon pouls traverser mes tempes.
Il détacha peu à peu ma chemise et je tournai le visage, pris d'une nouvelle panique. Depuis la fois dans la forêt, j'avais réussi à évité d'aller jusqu'au bout, ne me contentant que de nos caresses même si je les évitais aussi. Ma conscience refusait toujours de lui accorder totalement confiance, me rappelant qu'il était celui qui pourrais m'enchainer à jamais et me priver de toute liberté, durement acquise au fil des années pour arriver à maitriser mes pulsions à la vue du sang.
Je fini par retenir les deux côtés de ma chemise d'une main et me redressai, n'étant pas d'humeur à ça, surtout en plein milieu de cette plage aussi déserte soit-elle.

- "B-boss... ce n'est vraiment pas le moment..." soufflais-je doucement en réajustant les boutons de mon haut.

Cèdent peu à peu à mes ardeurs, je pris ses poignet et les écartais l'un de l'autre avant de le plaquer de nouveau contre le sable, mon ardant regard fixant ses yeux sans relâche.

- Laisse-toi faire, je te promet d'être "Gentil", dis-je, un souri pervers au lèvre, mais un regard à la fois doux et passionné, donnant un étrange contraste à mon visage.

Le tenant toujours, j'approchais mes lèvres des siennes et l'embrassais doucement. Pris d'un faim terrible, une faim vorace et qui ne pouvait attendre, Non pas une faim d'incube, mais un Faim d'amour, une faim de lui, de son corps, qui dépassait largement celle que je ressentais habituellement lorsque je devais me nourrir, je me laissais à lui lécher le long du menton, descendant dans son cou que je suçotais, laissant quelques marques bleutée ou rougie. Je me retins de le mordre, mon contentant juste de le mordiller sans le blesser, voulant être doux avec lui pour qu'il puisse se détendre et éprouver lui aussi du plaisir à se que je lui faisais.

Attendez... Depuis quand est-ce que je fais passer le Plaisir de mon Partenaire avant le mien ?!! J'étais choqué de voir à quel point j'avais changé, à quel point IL m'avait changé. Mais qu'importais que je ressente ou non du plaisir, rien ne pouvait être plus agréable que de lui en donner. Je descendais mes lèvres jusqu'au son torse, passant ma langue sur un de ses tétons, desserrant mon étreinte sur ses poignet pour lui montrer que je n'étais point agressif, et que je ne recherchais que son plaisir, ainsi qu'à stimuler son envie. Suçotant son petit bout rose et pointant, je relevais lentement mes yeux vers lui, le regardant du même regard que plus tôt, quoi qu'un peu plus langoureux, et me concentrais de nouveau sur ma tache.

- N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, car il n'est là que pour te satisfaire et te préserver.
N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, Ses dents, ses griffes, ses crocs, ne te sont pas destiné.
N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, Car sa seule existence ne consiste qu'à t'aimer, et sa seule exigence n'est que te toucher.

Je lui récitais ce petit texte d'un air plutôt doux et serein, tentant de le rassurer, Aillant l'intention d'aller jusqu'au bout, cette fois-ci. Cependant, Il restais un dernier vers à cette poésie, que mon coeur voulait lui crier, mais que ma bouche, honteuse de tel parole qui me rabaissaient ne serais-ce qu’un tantinet, ne pouvait laisser passer.

"N'ai pas peur du « Grand Méchant Loup », cher enfant, Car par ton cœur il fût appâté, mais par tes yeux il fût entravé."

Il prit de nouveau mes poignets, les écartant lentement en me rallongeant sur le sable.

-  « Laisse-toi faire, je te promet d'être "Gentil" »

Je rougissais de nouveau, fermant les yeux en voyant son visage s'approcher pour m'embrasser. Il descendit doucement sa langue sur mon menton, allant jusque mon cou pour le suçoter et je frissonnais au moment où il lécha doucement un de mes tétons profitant qu'il desserre sa prise sur mes poignets pour les allonger le long de mon corps, enfonçant mes doigts dans le sable.

- « N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, car il n'est là que pour te satisfaire et te préserver.
N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, Ses dents, ses griffes, ses crocs, ne te sont pas destiné.
N'ai pas peur du "Grand Méchant loup", cher enfant, Car sa seule existence ne consiste qu'à t'aimer, et sa seule exigence n'est que te toucher. »

Je tournai le visage, évitant de croiser son regard tandis qu'il continuait sa tâche en récitant ces phrases et je me mordis très légèrement la lèvre pour ne pas gémir, son geste rendant de plus en plus sensible mon téton rougit.
Il retira de nouveau ses lèvres, murmurant un peu plus doucement la fin de sa poésie.

- « N'ai pas peur du « Grand Méchant Loup », cher enfant, Car par ton cœur il fût appâté, mais par tes yeux il fût entravé. »

J'en profitai pour remonter doucement une main sur mon torse en le cachant bêtement d'un bras, la timidité me prenant soudainement.
Je tournai le visage vers lui, encore rouge de honte mais lui répondis d'un air que je voulais autoritaire, bien que j'avais plus l'air d'un soumis.

- « V-vous cherchez à m'avoir par les mots? Je... c'est moi qui d-domine »

- Dominant, hein ? C'est mignon ! dis-je, tout sourire.

Je descendais ma langue le long de son ventre et détachais doucement son pantalon avant de le baisser, et baissais également son sous-vêtement de façon à se que seul son membre soit dévoilé. Je m'emplie d'une joie perverse lorsque je vis son membre dressé, aussi dur que de la pierre après se que je lui avais fait. Aussi passais-je ma langue dessus, tout en le caressant doucement, puis relevais les yeux vers lui.

- l'as-tu déjà fait avec un homme ? demandais-je, d'un air pervers.

Dans le fond, qu'il soit le Dominant ne me dérangeait pas... à condition qu'il sache s'y prendre ! L'amour entre les femmes et les hommes sont bien différent, et les risques sont bien présent, surtout sans matériel... Et j'avoue être légèrement intimidé à l'idée d’être le dominé, surtout si celui qui me pénètre ne s'y connait pas en relation gay, aussi aimé soit-il de moi.

Je commençais à lipper son membre tel un petit chat, léchant le liquide qui s'en écoulait.

- Connais-tu les méthode de précotions pour les relations sodomites ? Connais-tu les risque que j'encours ? Les moyen de me donner du plaisir ? lui dis-je, tout en continuant de lécher son membre dressé, dur et humide entre chaque parole, le regardant intensément.

J'accepterais qu'il soit le dominant si cela peut permette à nos deux corps de ne faire qu'un... Mais j'avoue avoir peur. Lui qui a toujours haïs les gay, lui qui a toujours couché avec des femmes...

Saurait-il m'envoyer au paradis en me faisant l'amour des heures et des heures sans conséquence ?

- « Dominant, hein ? C'est mignon ! »

En plus de ça, il se foutait de moi! Quel sale gamin mal éduqué, il osait mettre ma parole en doute tout ça parce que j'étais hétéro ! C'était lui le soumis qui a trop peur d'approcher les femmes, voilà tout !
Tandis que je m’énervai tout seul dans ma tête, il descendit sa langue le long de mon ventre en enlevant ce qui me restait de vêtement et passa lentement sa langue sur mon membre durcit par l'excitation éprouvée.

« l'as-tu déjà fait avec un homme ? » finit-il par me dire en levant les yeux vers moi avec son air pervers habituel.

Il recommença à lecher mon entrejambe d'une manière plus provocante, récupérant un peu de la substance qui coulait le long du membre. N'osant pas ouvrir la bouche de peur de gémir, je détournai le regard en essayant d'oublier l'humidité et la chaleur que produisait sa langue.
En y repensant, pourquoi me posait-il la question? Il connait mieux la réponse que n'importe qui... Il reprit son discoure, l'espaçant pour continuer sa tâche.

- « Connais-tu les méthode de précotions pour les relations sodomites ? Connais-tu les risque que j'encours ? Les moyen de me donner du plaisir ? »


Pour qui il me prend? Devrais-je lui rappeler que dans mon travail, je connaissais tout de l'anatomie humaine, que ça soit le corps d'une femme ou celui d'un homme? Je me redressai lentement, m'appuyant sur mes coudes en tremblant et lui répondit en resserrant doucement mes cuisses,

- « I-idiot, je ne suis pas si ignorant, je connais tout de ton corps et de tes zones sensibles, la sodomie n'est pas un sujet si tabou, tu pense peut être que je me contentais d'une seule zone en prenant les femmes? » J'arrêtai soudain mon monologue, repensant à l'endroit où je devais le prendre lui et détournai la tête, prit d'un dégout habituel envers le sexe gay. Cependant, je ne voulais pas qu'il me voit comme un primate hétéro né de la préhistoire.
- « Tu... je sais qu'il faut te préparer, ce n'est pas si différent des femmes... T-tu n'y connais rien en relation hétéro, ne crois pas que je ne sache pas quel sont les risques, les femmes sont a préparer aussi si je ne veux pas les blesser... et pire par derrière »

Je m'assis sur le sable, posant ma main sur sa tête toujours aussi proche de mon organe encore dur et lui caressai ses cheveux d'un geste hésitant, descendant l'autre sur son postérieur en me forçant.
Je caressai doucement l'une de ses fesses froide et musclée, avant de poser mon index contre l'entrée de son derrière et me courbai en avant pour rapprocher mes lèvres de son oreille.

- « tout près d'ici se trouve cette petite glande sensible chez l'homme, mon cher colonel... il suffit que je joue avec elle à travers votre rectum pour que vous preniez du plaisir.. » je continuai de tapoter l'entrée avec mon index et finit par redescendre vers ses bourses, les massant doucement sans gêne, ne voulant pas lui montrer mon dégout. « Et tandis qu'une partie s'occupe de votre glande, ma main malaxera vos deux testicules un moment avant de glisser sur votre membre, le serrant peu à peu en exécutant de long mouvements de vas-et-vient, terminant en chatouillant le bout qui s’humidifiera sous mes caresses avant de vous faire jouir tout ce que vous aurez accumulé»

J'éloignai mes mains pour les poser sur le sable, gardant mon visage sur son épaule pour ne pas lui montrer mon air de perturbé gêné et écœuré, en humant l'odeur de ses cheveux, toujours doux malgré les graines de sable qui s'y étaient accrochée. Je n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait penser à l'instant mais je souhaitai juste qu'il arrête de penser que je n'étais qu'un soumis et que je n'y connaissais rien juste parce que je fréquentais que des femmes.

Je frissonnais, surpris en sentant sa main sur mon postérieur. Je remarquais qu'il évoluait peut à peut, qu'il était de moins en moins dégoûté par les hommes... enfin, c'était mon impression. Tendis qu'il me caressais, je m'amusais à suçoter son oreille en l'écoutant attentivement. Cependant, je fut contraint d’arrêter cela lorsque je sentis le point le plus sensible de tout mon corps être caressé.

Tendis qu'il jouait avec mes bourse, je dus me morde la lèvre jusqu'au sang pour ne pas gémir, faiblissant de plus en plus. Cette zone était mon plus gros point faible. La zone la plus érogène de mon corps. Je sentais mon sang normalement froid se réchauffer peut à peut, plus dur que jamais je ne l'avais été.

C'est alors que ça se produisit... Mon dieu, j'ai honte ! Sans que je n'ai pus intervenir, un faible, mais audible, gémissement s'échappa de ma gorge. Un gémissement si gênant ! Depuis quand gémissais-je comme un Uke ?!! Oh non, je rêve... Il avait réussi à me tirer un gémissement si obscène alors n'avais jamais lâché d'orgasme depuis tant d'année ! Je n'avais jamais été aussi gêne.

Quelque peu résigné, remettant en question ma nature de Seme, je m'assis devant lui, entre ses jambes, mes jambes de chaque coté des siennes, pliées, le derrière légèrement relevé, mais assez proche pour qu'il ne le voie pas sans le vouloir, sachant qu'il avait surement encore un peu de mal avec les corps masculin.

- Alors allez-y, Chenchei, mais n'oubliez pas qu'à l'inverse des femme, je ne sécrète aucun liquide à cet endroit, dis-je d'un air pervers et quelques peu mal assuré.

J'avoue que j'étais intimidé. Cela allait être ma première fois en tant qu'Uke, et le souvenir de mes précédentes conquêtes après nos ébats peu avant leur mort m'effrayaient d'autant plus.

Mais après tout, pourquoi pas... si c'est lui ?

Je restai un long moment sans rien faire, écoutant nos souffles et le bruit des vagues. J'étais assez gêné de l'avoir fais gémir de cette façon, cette voix qui venait de s’échapper de sa bouche était bien la sienne mais le timbre sonnait différemment, voir beaucoup trop pour que je m'y habitue.
Je repensai soudain à cette nuit passée avec lui dans la forêt et la façon dont les soupirs qu'il lâchait furent...viril, si puis-je les décrire comme ça. Aaah, juste sa voix me donnait des frissons, ça devenait vraiment dur de faire semblant de fuir ses avances à l’hôpital,

Étant trop plongé dans mes pensées, je ne remarquai que trop tard la façon dont il venait de s'assoir autour de moi.

- « Alors allez-y, Chenchei, mais n'oubliez pas qu'à l'inverse des femme, je ne sécrète aucun liquide à cet endroit »

Un lourd silence s'installa juste après et aucun de nous ne bougea, mon regard s'était baissé pour regarder cet endroit qu'il voulait m'offrir, faisant virer de nouveau mes joues au rouge.
Mon dieu, mais qu'est-ce qu'il faisait? Il n'était quand même pas sérieux?! Essayant de rester calme face à la situation, je posais mes mains au bas de son dos et murmurait d'une voix tremblante

- « D-de quoi tu parles? J-je... je ne ferais jamais ça. Et pour ton information, les femmes ne ne secrète rien du tout non plus par là. La seule différence, c'est qu'il est plus simple de récupérer leur fluide, étant donné la courte distance entre le sexe et l'anus »

Bizarrement, en évoquant ses souvenirs, je n'avais plus vraiment de manque ou de regret. Je n'étais pas si pervers, mais en venant ici, je ressentais un gros manque... Et même en me touchant, il n'était pas comblé, en fait, c'est surtout le fait de me retrouvé seul en plein milieu d'une bande d'homo en surdose de testostérone qui posait problème, les femmes étaient mon seul réconfort même si je me comportais souvent en salaud. Dans cet endroit, il était devenu la seule source de réconfort et de compagnie, bien que je ne voulais pas l'avouer, je détestais être seul.

Je suçotais son oreilles, descendant dans son cou, le long de son épaule... Dieu que j'aimais son contacte ! Je me languissais le moment où nos deux corps seraient emboîté et réuni en un... Même si c'était moi qui devait me faire pénétrer. Je me mis à caresser doucement son membre avec le mien, passant mes bras autour de son cou.

- Pourquoi pas ? Je suis près à t'abandonner mon corps si tu le souhaite... tant que nous ne faisons qu'un, ça me conviendra, dis-je d'une voix perverse et provocatrice.

Je le tirais vers moi et m'allongeais sur le sable, le faisant s'allonger sur moi, nos membre toujours entremêlé, et l'embrassais, lapant sa langue avec la mienne comme un petit chien qui bois à sa gamelle.

J'étais de plus en plus excité, j'avais l'impression que j'allais perdre la tête... Je caressais doucement son dos avec mes mains, son membre avec le mien, ses bourses avec les miennes et sa langue avec la mienne. Nos corps étaient en feu face à nos ardeur et à mes assauts incessant. Je n'en pouvais plus, j'en voulais plus... que nous nous adonnions à un plaisir fou et interdis, le plaisir des flammes de l'enfer, le vrai et unique plaisir lorsque deux êtres aimant ne faisaient plus qu'un...

Pour le meilleur et pour le pire.

Il recommença à suçoter mon oreille en descendant lentement jusque mon épaule, m'arrachant des frissons et une sensation d'appréhension, ayant l'impression que la situation tournait comme il le désirait et que je n'y échapperais pas.

- « Pourquoi pas ? Je suis près à t'abandonner mon corps si tu le souhaite... tant que nous ne faisons qu'un, ça me conviendra »

Il termina sa phrase en me tirant sur lui, s'allongeant sous moi en m'embrassant, jouant continuellement avec ma langue.
Je senti un filet de salive s’échapper de nos lèvres, ne sachant même pas à qui il appartenait vu comment elles se mélangeaient et comment j'étais confus.
Ses mains descendirent et remontèrent sur mon dos tandis que mon membre s’appuyait sur le sien, le sentant légèrement gigoté sous moi, tout ses gestes m'excitaient et au bout de quelques minutes seulement, je du lui mordre les lèvres pour retenir un gémissement.
Mal à l'aise et ne voulant pas aller plus loin, je me redressais difficilement, mes jambes tremblantes me faisant légèrement vacillé.

- « J-j-je... je ne ferais jamais ça avec un homme, ne.. ne me touche pas »

Ces mots me traversaient comme une lame. J'avais l'impression d’être le pire des pervers essayant de forcer un petit garçon inconnu et innocent. Au fond, ce n'étais pas faux... j'avais toujours été un monstre et un salaud, à forcer mes victimes. Elles avaient souvent prononcé ces mots, mais jamais aucun ne m'avaient atteint, jamais... Sauf aujourd'hui. La Première fois de ma vie où je me sentis mal d’être si pervers. C'est surement se qu'il devait penser de moi...

Je savais qu'il n'aimait pas les hommes, et mon corps était se qu'il y a de plus viril... ainsi que mon membre trop imposant que je haïssait tant. Je ressemblais à un de ces monstre de série Hentai ou Yaoi... Et je comprenais parfaitement au fond, pourquoi je ne lui donnais pas envie.

Cachant au mieux ma tristesse et ma déception, je me redressait également, posant mon front contre le sien, mettant une main sur la joue que je caressais avec mon pouce.

- Mon corps... Te répugne à ce point ?

C'est dans ces moment là que j'aurais tout donné pour être une femme... Pour lui.

Je restai debout sans rien faire, ne le regardant que l'instant de voir son air déçu.
Il finit par se redresser, s'approchant de moi pour poser son front contre le mien. Sans même m'en rendre compte, des larmes m'étaient monter aux yeux, à la fois de peur et de honte, ou simplement d'excitation.

- «  Mon corps... Te répugne à ce point ? »

Surpris, je détournai le regard, ne sachant que répondre, paniquant de nouveau et étant tellement excité que j'étais proche de l'évanouissement.
Sa main continuait de caresser ma joue et son souffle bouillant frôlait mes lèvres,il attendait surement une réponse de ma part mais aucun son ne voulait sortir, je n'avais pas la réponse moi même. Il ne me répugnait pas réellement, en fait j'aimai son corps malgré qu'il ait tout d'un homme, au fond de moi, je détestais les hommes efféminés et frêle, c'était peut être pour ça que j'acceptais le sien.
Je croisai son regard un moment, sans bouger.j'arrêtai presque de respirer vu l'embarras que je ressentais face à lui et sa déception mal dissimulée.
Voyant qu'il détachait lentement son front en retirant sa main, je le retins comme je pouvai en l'attrapant par la taille, le tirant contre moi.

- « N-non... » dis-je d'une voix à peine audible, n'arrivant même plus à hausser légèrement la voix et n'osant pas en dire plus, je me mordis la lèvre jusqu'au sang.

A cet instant, j'avais juste envie de me rhabiller et de partir, j'en avais réellement marre de tout ça.

Désespéré d'avoir une réponse, j'allais abandonné quant il me rattrapa par la taille. J'entendis alors sa réponse, encore sous le choc de la surprise. Mon dieu, mais voulait-il me tuer ?! Impossible de résister ! Je l'allongeais doucement au sol, me plaçant au dessus de lui et l'embrassais. J'avais une folle envie de franchir le pas, mais il ne semblait pas prêt... Mais il m'excitait de plus en plus, par ses actions et ses mots, je n'arrivais plus à me contenir. Je fis durer le baisé un long moment, une main dans ses cheveux et l'autre caressant son flanc. Je ne détachais mes lèvres des siennes que bien plus tard et très difficilement, un lien de salive unissant nos bouche, et lâchais en un souffle :

- Tu vas finir par me tuer... Je frôle la crise cardiaque à chaque fois, Tu fais bondir mon coeur à chacun de tes mots, tu l'accélère à ta guise à chacun de tes geste, tu es si éros... Que dieu me châtie, je ne peux vraiment pas te résister.

Et je l'embrassais de nouveau, Accompagnant mon Tendre et langoureux baisé de toute la passion que l'on peu éprouvé lorsque l'on est autant amoureux que moi.

Je fini par me retrouvé une nouvelle fois allongé sur le sable, bloqué par ses baisers. Il le faisait exprès de me perturber autant! Il ne savait pas à quel point j'étais excité! Pour couronner le tout, il descendit une de ses mains jusque l'un de mes flancs, le caressant d'abord du bout des doigts et ainsi m'exciter encore plus. C'était injuste qu'il utilise les parties sensibles, normal que je lui cédais!

Il détacha enfin ses lèvres, restant tout de même assez près de mon visage et brisa le filet de salive en parlant.

- « Tu vas finir par me tuer... Je frôle la crise cardiaque à chaque fois, Tu fais bondir mon coeur à chacun de tes mots, tu l'accélère à ta guise à chacun de tes geste, tu es si éros... Que dieu me châtie, je ne peux vraiment pas te résister.

Sans même me laisser le temps de lui répondre, il reposa ses lèvres contre les miennes, m'embrassant de nouveau pendant un long moment durant lequel j’étouffai des gémissements, sa main continuant de caresser mon flanc tandis que mon membre se frottait lentement contre sa cuisse. Ça s'empirait de plus en plus, il allait me faire jouir à cause de quelques frottements et caresses!
D’instinct, je soulevais légèrement mon bassin pour me presser plus fort contre le sien, mes lèvres se décollant ensuite de quelques centimètres pour lâcher un faible mais long gémissement de soulagement, ma semence se déversant par petit jet sans réussir à la retenir.

Alors il était si excité ? Je n'arrivais pas à en croire mes yeux... J'étais fou de joie qu'il partage ainsi mon excitation, et en conclus qu'il avais aimé se que je lui faisait, au moins un peu... Je l'embrassais de nouveau, encore et encore jusqu'à se qu'il finisse de se soulager. Je constatais par la suite avec grande joie que son érection ne faiblissais pas. Avait-il déjà été aussi dur dans sa vie ? je me le demandais... Mais je ne l'avais jamais vue aussi excité.

Je passais ma main sur les quelques tache qu'il avait laissé sur moi et léchais la substance blanchâtre qui dégoulinait de mes doigts. en voulant encore plus, je ne pus résister. Je descendis mes lèvres et ma langue le long de son menton, de son cou, de son torse pour finalement arriver à son bas-ventre et lécher le reste de sa semence qui s'était écoulée sur lui, faisant des vas et viens sur son membre en parallèle.

Et c'est alors que je commençais mes première lippée que je sentis un liquide chaud s'échapper de mon membre. Je venais de jouir à mon tour sans même qu'il ne me touche.

Il continuai de me caresser les flancs avant de passer une main sur les gouttes qui coulaient près de ses cuisses, léchant ensuite ses doigts. Je rougissais, frissonnant au contact de sa langue qu'il commença a descendre le long de mon torse avant de sentir ses doigts autour de mon membre.
Chacun de ses gestes m'emmenaient doucement vers un état d'ivresse, je n'avais plus conscience de rien, j'en oubliais même que c'était un homme.

- « A-aah... » gémis-je quand il entama de courts vas et vient sur mon membre, léchant la semence que j'avais sur moi.

Mon dieu... savait-il que ce n'était pas suffisant pour calmer toute cette excitation? Etait-il conscient que je n'arrivai même plus à parler au risque de gémir? Non, il ne devait pas savoir à quel point j'en voulais, moi même j'avais du mal à me ressaisir, je dû me redresser pour éloigner son visage.

- « T-tu as... déjà jouis.. » lui dis-je en remarquant sa semence près de nos jambes. Je resserrai mes cuisses, voulant lui empêcher tout autre contact avec mon membre. S'il continuait, je n'allais plus m'en sortir, faut vraiment qu'il arrête de m'exciter, je n'en voulais pas!
Haletant, je lui attrapai le poignet pour qu'il stoppe ses vas et vient avant de murmurer d'une voix que je voulais douce

- « Aah ! Arrête ç-ça... je ne v-veux plus »

Je continuais mes caresse, jusqu’à se qu’il me coupe l’accès à son membre. Je caressais alors ses hanches, descendant mes mains sur ses cuisses en l’embrassant. Je suçotais ses lèvres, restant tendre pour le rassurer. Aaaah, il me fait tourner la tête, je n’y crois pas ! Comment avais-je pus tomber amoureux à ce point ? Il me rendait dingue… J’avais tellement, Tellement envie de lui, de ses bras, de ses yeux, de ses lèvres, de sa langue… Son membre dressé, sa douce peau, ses cheveux humides d’embruns et flamboyant flottant au vent, sa voix excité, son dos si sensible.. Tout. Je voulais absolument tout de lui, et je voulais qu’il ai tout de moi.

Profitant qu’il ai les jambes relevé, j’approchais mes lèvres de son entrée et y passait la langue, tenant ses jambes pour qu’il ne les baisses pas.

- Je veux te toucher, te goûter… partout… connaître tout de toi… Ton corps et ton cœur, dans les moindres recoins… Je t’aime… Dis-je, d’une voix follement excitée.

Je suçotais son entrée et ses bourses, passant ma langue sur les deux pendant un moment. Je léchais l’ensemble, encore et encore, tendis que mes mains caressaient ses cuisses. N’osant pour l’instant entrer ma langue dans son postérieur, Je la passais sur l’une de ses cuisses, ma respiration forte, chaude et excitée. J’en voulais encore plus… encore et encore, encore et toujours, toujours plus de lui… Lui pour toujours… Mon esprit est flou et troublé, je n’arrive à penser qu’à lui, rien qu’à lui et uniquement lui… Je le veux, je le veux, je le veux, Pour toujours… Je le voudrais toujours. Je l’aime tant, je deviens fou… Fou à lier, Fou dangereux…

Fou de lui…

Je frissonnais au moindre de ses gestes, rougissant toujours plus et me crispai au moment où sa langue caressait mon postérieur.
Les yeux tourné vers l'océan, je tentais déjà de trouvé une excuse pour partir, mais sentant de nouveau sa langue passer sur ma peau à présent bouillante, je me ravisai et le laissai faire durant un court instant.

Je pris mon courage a deux mains et me mit assit, l'éloignant de mes cuisses avant de murmurer d'une voix tremblante, mon corps subissant de leger spasmes d'excitations;

- « J-je...je veux arrêter là... »

Je savais qu'au fond de moi, il ne m'écouterait pas comme il a l'habitude de faire mais je voulais toujours tenter, jusqu'à ce que les nerfs lâchent.... Peut être que ça me plaisait de m'ennerver sur lui, après tout, j'ai été calme durant des années...

Je léchais doucement sa peau, sentant ses spasmes de plaisir secouer son corps. Mon érection était de béton. Mon esprit était brouillé : Je voulais lui faire l'amour jusqu'au petit jour. Ne pas m’arrêter durant des heures, l’étreindre encore et encore. Mais dans un éclair de pensée, je me ravisais. Après tout, même si il m'autorisait, je ne le ferais qu'une fois des plus doucement.
Je caressais sa cuisse du bout de mon doigt, jusqu'à son entrée que je touchais doucement.

- « J-je...je veux arrêter là... » entendis-je.

Sa voix disait le contraire et ses spasmes de plaisir, ses petites larmes d'extase, sa peau brûlante et rougie... non... il ne fallait pas s’arrêter. Pas maintenant. Alors que nous étions aux porte de l’extase tout deux. Peut-être n'irions nous pas jusqu'au bout. Mais je voulais lui faire goûter à ses plaisir, même si ce n'était que du bout de mon doigt. J'entrais alors légèrement ce dernier en lui. Tout doucement, le faisant passer presque tout seul dans ce petit trou rosé qui semblait appeler à un plaisir nouveau. Je remontais alors ma langue jusqu'à son nombril.

-"En es-tu sur ? Regardes nous..." dis-je, visant nos érections.

Je remontais alors ma bouche jusqu'à son oreille, et lui susurrais doucement alors mon compromis.

-"Même si tu ne veux pas aller jusqu'au bout... Laisse moi te faire jouir une fois encore."

Il caressait l'arrière de ma cuisse avant d'amener son doigt jusque mon postérieur. Bon sang, il avait vraiment le don pour me faire tourner en bourrique ! Et évidemment, il m'ignorait! Mais alors que j'étais en train de m'énerver intérieurement, j'eu un léger sursaut quand je sentis son index pénétrer en moi.

- « N-nyah... » gémis-je doucement, me crispant à cette douleur jamais ressentie. Je tentai de cacher ma panique, ne voulant pas me montrer faible

Il remonta jusque mon nombril, le léchouillant en me faisant remarquer nos éréctions. Je l'ignorai et il continuait de remonter, mettant ses lèvres au creux de mon oreille.

-"Même si tu ne veux pas aller jusqu'au bout... Laisse moi te faire jouir une fois encore."

Je tournai le visage et attrapai son bras pour lui faire comprendre d'arrêter ses légers vas-et-vient. Je resserrai alors ma prise en me mordant la lèvre et murmurait en griffant la paume de mon autre mains.

- « J-j'ai dis que je voulais pas... m-mon érection ne concerne que moi, si je veux pas me soulager, ça ne te regarde pas... Et... n-ne t'avise plus de me mettre tes doigts dans les fesses»

J'attendis qu'il retire son doigt pour pouvoir me relever, n'osant même plus bouger une jambe tant mon corps tremblait, surtout de peur.

je bougeais très légèrement le bout de mon doigt en lui pour commencer. il n'était enfoncé qu'à la première articulation, mais cela suffisait pour tâter sa zone sensible. Aussi la cherchais-je un moment.

-"n-nyah..."

à l'entente de son son, je failli jouir du simple frottement de mon membre contre nos peaux. je rougis légèrement de l'avoir entendu de cette voix si embarrassante, quelques étoiles dans les yeux. Ça voix est si érotique que je me demandais se que cela donnerait le jour où je le prendrais.

- « J-j'ai dis que je voulais pas... m-mon érection ne concerne que moi, si je veux pas me soulager, ça ne te regarde pas... Et... n-ne t'avise plus de me mettre tes doigts dans les fesses»

Je l'écoutais sans m’arrêter d'abord, et touchais enfin un zone qui fit réagir son corps. un petit soubresaut, une goûte de liquide perlant un bout de son membre et une sorte de gémissement retenu. Mais je savait que j'étais à la limite qu'il ne pourrait tolérer.
Je retirais alors doucement mon bout osseux de son arrière trin.

Je le vis essayer vainement de bouger. Mais ses jambes tremblaient. Son membre était au moins aussi dur que le mien... Mais je ne sais pourquoi, lui qui avant réfléchissait dans ces cas avec les neurones en dessous de son bas-ventre, n'avait pas l'air de vouloir se laisser aller aux plaisirs que je voulais lui offrir...

Je m’allongeais alors sur lui et essayais de ne pas l'écraser. Je passais mes bras derrière ses épaules afin de pouvoir me tenir au sol avec mes avant bras, et posais ma tête sous son cou.

Il avait fait l'effort de venir me voir, je ne voulais pas tout gâcher ; même si calmer mes ardeurs présentes été casi-impossible.