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Mais où Eyvind, Ichiro et Noriaki ont-ils disparu depuis tout ce temps? ^^

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MessageSujet: Mais où Eyvind, Ichiro et Noriaki ont-ils disparu depuis tout ce temps? ^^ ••• Sam 30 Mar 2013 - 22:12
Coucou ! ^^ Je suis de retour ! Pour vous jouer un mauvais tour /PAN *sort*

Cela fait plutôt un bail depuis que mon dernier rpforum et rpchat ici...et c'est pour ça que j'ai imaginé une petite histoire qui expliquerait l'absence de mes petits persos pendant tous ces mois, où j'ai jeté l'éponge du rpg (ooouh la vilaine ><). Cela s'inscrit dans la continuité des rps que j'avais fait avec Hika et Xerxes sur la cb...Donc ça se trouve,il n'y qu'à eux, que ça parlera xD.

Merci à Akira de m'avoir botté les fesses, et à Hika que j'adore <3
Bonne lecture :3

texte
Une nuit à la lune, pleine et féconde. Brillante dans le ciel noir. De sa beauté simple et cristalline, elle aurait pu me faire oublier tout ce qui m’entourait à ce moment même. Le bruit du vent, le craquement des branches de la forêt, les mouvements discrets de ses animaux nocturnes…Et les pas feutrés de la chimère qui s’approchait en ma direction, juste à quelques mètres de moi. Je ne la voyais pas. Pourtant, je percevais clairement sa présence dans mon dos. Je la sentais. Déjà mon odorat développé de vampire m’alertait de sa proximité…mais de plus…je sentais son essence même, sa bestialité, son âme…sa faim. Comme si elle faisait partie de moi. Même après avoir claqué la porte de l’Iroke Hôpital, ne laissant qu’une vague lettre de démission dans mon bureau,- dans l’espoir d’échapper à tout ça, quel optimisme grotesque- mon don d’empathie ne voulait pas me quitter. Je n’arrivais pas à m’en débarrasser. Mais ici, errant tel un fantôme dans les coins les plus reculés de l’Ile, il ne m’incommodait pas. Il m’était plutôt utile, il fallait dire, pour ma survie. Quoique vivre n’avait pas beaucoup de valeur à mes yeux. Je devais approcher les cinq cent ans d’existence…Dont des siècles de sommeil…Et des années de vie passées à quoi ? A tuer pour résumer. Et ce, bien avant ma transformation en immortel. J’étais déjà un tueur quand j’étais humain, et cela n’avait pas changé, une fois devenu ce monstre. Quoique ce plaisir d’ôter la vie fut remplacé par ce besoin obsédant et astreignant de soif. Le plus ironique, c’était ce don qui m’accompagnait depuis…L’empathie…ressentir la douleur de ses propres victimes. Et l’apprécier. Car je ne choisissais en général que des êtres aussi mauvais que moi…
Mais quand il s’agissait d’autres personnes, de ces innocents, traînant leur souffrance le long des couloirs, ça n’avait plus rien de réjouissant. A l’hôpital, cela frôlait l’insupportable. Je tenais le rôle de psychologue…Le seul de tout l’asile…face à des internés en proie à des pathologies plus ou moins graves, des hybrides et des vampires, enfermés de force sur cette île. Sans vouloir me vanter, je crois que j’étais plutôt bon pour ce métier…tout ressentir aidait pas mal pour résoudre les conflits entre internés. Et puis mes patients m’appréciaient, inconscients de ma vraie nature…de qui était vraiment Eyvind Whitthall. Je jouais le rôle de l’adorable psychologue, un humain, gentil , attachant, enfantin et cajôleur. Et ils m’appréciaient, membres du personnel comme internés, croyant aveuglément à ce masque. Et puis il y avait lui. La seule et unique personne qui connaissait mon secret….Hikaru. Mon créateur, que j’avais retrouvé après des siècles de séparation, et qui avait veillé sur moi à sa façon quand je travaillais encore à l’hôpital, s’inquiétant à l’idée que je puisse être démasqué. Hikaru. J’eus une pensée pleine de tendresse à son égard. Si j’avais vraiment su ce qu’éprouver de l’amour signifiait, je pense que ce sentiment lui serait adressé. Mais ça n’avait jamais fait partie de mon panel d’émotions. Je maîtrisais bien mieux la colère, la haine, et la peur, le désespoir….et surtout l’indifférence.
Peu de gens seraient en mesure de comprendre mon acte. Certains diraient que j’avais tout… alors pourquoi partir brusquement ainsi, sans prévenir personne ? C’est la question qui a du les tarauder, il y a des mois de là, lors de ma disparition soudaine. Toutes leurs suppositions seraient vaines, s’ils savaient. La raison pour laquelle je rejette tout ainsi, leur affection à eux tous, et surtout son amour à lui…Je doute même qu’il en soit capable. Je fermai les yeux quand l’éclair de souffrance traversa ma poitrine. La chimère avait bondit, passant à l’attaque à une rapidité effrayante. Je l’avais presque oubliée, perdu dans mes réflexions.

· Si tu savais, à quel point je suis désolé *

Le sang jaillit et éclaboussa l’herbe verte. Mon sang. La douleur de nouveau. Mais elle ne pouvait surpasser celle qui m’avait happé le cœur. Bizarrement la sensation des griffes dans ma chair ne parvenait pas à effacer ce vide au fond de moi qui me dévorait. Je grondai instinctivement, tandis que mon corps s’activait tout seul, tel un automate pour me dégager. Les crocs de la chimère visèrent cette fois mon cou. Sauf qu’elles ne le trouvèrent pas. J’avais bougé, et l’avait enlacée, l’attirant contre moi, tel un amant désireux. Je faillis sourire, mais bizarrement, mes lèvres n’arrivèrent pas à obéir. La chimère émit un glapissement, tandis que je broyais sans effort sa cage thoracique. Puis je la relâchai, alors qu’un dernier gargouillis s’échappait de sa gueule. Je pris le temps de contempler son cadavre, cet espèce de félin gigantesque, qui n’avait plus grand chose d’un être humain, laissant à mes blessures le temps de se cicatriser d’elles-mêmes. Puis, je me penchai et plongeai ma main dans sa poitrine, lui extirpant le cœur. J’avais envie de le voir, cet organe encore palpitant…le mien ne battait plus une éternité. Quand je le tins enfin, au creux de ma paume, j’éprouvai une curieuse sensation de contentement, presque semblable à celle que j’éprouvais lorsque je me nourrissais de sang. Depuis quand ne m’étais-je pas nourri ? Un mois ? Je me mis à lécher le liquide carmin qui recouvrait ma main. C’était bon à mourir.
Le vent souffla, titillant mon odorat. Une odeur humaine qui approchait…sans aucun doute un garde, alerté par notre lutte. Aussitôt, je me mis à courir, m’éloignant de la clairière. Je n’avais plus rien à faire ici. Direction, les montagnes, là où je m’étais terré… l’endroit qui convenait bien mieux à la bête que j’étais. Tandis que j’enjambais les talus, j’appréciais cette sensation grisante, de me faufiler à travers la forêt à toute allure, guidé uniquement par ses réflexes, sans avoir à réfléchir. J’en avais assez de feindre l’humanité, ce qui me collait à la peau, c’était cette condition de bête sans avenir, ni passé.
J’avais trouvé la cachette parfaite au sein des montagnes. Une grotte à l’abris des regards et des curieux, dissimulée dans un versant. J’y retournai pour m’y terrer, et m’allonger à même le sol. Je m’étais habitué ces derniers mois à me passer de lit et de tout le confort « humain ». Dans le noir complet, je fermai les yeux. Tout paraissait si calme et je laissais mes pensées s’évanouir.
C’est le crépitement d’un feu qui me tira de mon coma léthargique. J’avais tellement l’habitude de dormir des jours de suite, que j’ignorais combien de temps je m’étais assoupi. Une odeur familière me parvint….une odeur qui m’irrita et instinctivement, je bondis sur mes pieds, m’accroupissant tout crocs dehors , prêt à bondir sur cet intrus, qui avait délibérément voulu mettre un peu de chaleur dans mon sanctuaire de froid.

- Je me doutais bien que tu viendrais ici, dit Ichiro de sa voix calme et lisse comme s’il n’avait jamais eu l’occasion d’éprouver un seul jour de sa vie de la peur ou de la douleur, ça te convient parfaitement, un endroit sombre où tu auras tout loisir de te forger des illusions sans personne pour venir les briser.

Il se moquait délibérément de moi. J’avais une furieuse envie de lui arracher la tête, mais quelque chose me retint, peut être sa manière posée de parler comme s’il avait quelque chose d’important à dire. Mais que faisait-il là bon sang ? Comment m’avait-il retrouvé ? Et surtout pourquoi ? On ne s’était jamais supporté même si nous avions vis à vis de l’autre une certaine considération. Car oui, Ichiro avait ce quelque chose en plus que je respectais. Ce garçon-serpent restait vraiment un mystère pour moi. Je me remémorai parfaitement le jour où son venin avait failli me tuer. Dangereux…non seulement Ichiro était un être parfaitement agaçant, mais il pouvait de plus me tenir tête.
Comme je ne réagissais pas, il se glissa au sol d’un mouvement reptilien, qui me répugna pour se trouver à ma hauteur.

- Alors qu’est ce qu’il passe, Whitthall, on fuit ses responsabilités ? continua-t-il ses pupilles verticales étincelant à la lumière du feu.

Je grondai sourdement en guise de réponse. Puis, je consentis à lancer :

- Qu’est ce que tu veux ?
- Rien de toi…répondit-il avec sa suffisance, peut être juste t’aider ?
- Pourquoi aurai-je besoin de l’aide d’un stupide serpent à sonnette ? répliquai-je froidement.

Si je bondissais à cet instant, arriverai-je à lui arracher quelques écailles ? J’envisageai cette possibilité avec grand sérieux….
Soudain, il éclata de rire, et surpris, je le dévisageai. Il riait comme si non seulement ma pique ne l’avait pas atteinte, mais qu’en plus, je me montrais parfaitement ridicule.

- Ca ne te paraît pas évident ? Tu sais que tout le monde parle de toi à l’hopital ? Le personnel prétend que tu es parti en vacances…mais j’ai pas été dupe. Noriaki non plus. Tu agis de façon si puérile…Claquer la porte ainsi…tout lâcher, simplement parce qu’au fond, tu crèves de peur, n’est ce pas ? Tu joues les durs, mais tu es complètement terrifié, pas vrai ?

Je n’en revenais pas. Comment ce misérable petit insecte de 18 ans pouvait-il balayer ainsi le masque de perfection que j’avais mis tellement de temps à construire ? Comment avait-il pu mettre le doigt sur ma vérité, alors qu’il me connaissait à peine ? Ce n’était qu’un enfant, et il avait tout compris.Trop stupéfait pour répondre, je me contentais de le dévisager bêtement. La peur. Oui, celle que j’avais essayé de barricader loin de moi, et qui me sautait maintenant à la gorge, déchiquetant tout ce que j’avais essayé de construire. C’était blessant…de recevoir la vérité en face, je me redressai pour m’écarter du feu.

- Va-t-en, lançai-je sèchement.
- Oui, parce que c’est la solution qui est marqué sur tes bouquins, monsieur le psychologue ? S’enliser dans le déni, et faire comme si de rien était, répéter les mêmes erreurs ? répliqua avec morgue le Serpent.

Bon sang, pourquoi Dieu avait-il créé une créature aussi agaçante ?

- Tu ne sais rien de moi, grognai-je.
- Et c’est là que tu te trompes. C’était pas très malin de mettre sur papier tes pensées…ça n’a pas pris très longtemps de fouiller ta chambre et de trouver tes écrits. Tu es juste complètement perdu, et tu sais que j’ai raison en disant ça. Tu ne sais pas qui tu es…Tu ne sais pas ce que tu deviendras, ce que tu voudrais, ce qui est vraiment…Tu n’oses pas regarder ton passé en face, tout simplement parce que tu as peur de souffrir encore…tu n’oses pas t’avouer que tu es complètement brisé, et qu’il te faudra du temps pour te retrouver tel que tu es…alors tu joues la comédie, tu essaies de devenir quelqu’un d’autre, et tu t’es oublié…Tu mets la faute sur les autres, et tu les fuis. Mais je ne t’en blâme pas...Toute ton existence, tu as été rejeté…. par tes propres parents, puis par le vampire qui est venu te sauver, et ensuite par l’homme que tu considérais être plus qu’un père, que tu élevais au plus haut rang sur terre. Tu dois croire que c’est inévitable…que de toute façon, personne ne t’aimera jamais ?


Là, il allait vraiment trop loin. CET *** de **** chimère s’était permis de FOUILLER dans ma vie personnelle, et il venait se pavaner avec cette suffisance. Je sentis une colère brulante me traverser de part en part. Comment osait-il seulement me balancer ça en pleine figure ? Je ne supportais pas d’entendre ça. Parce que c’était vrai…Je crispai le poing.

- Non…ce n’est pas vraiment ça…continua inlassablement Ichiro, j’ai trouvé….tu flippes à l’idée qu’Hikaru te rejette tout comme Bjorn…que tu passerais les années qui suivent à le voir auprès de Xerxes, ou même d’autres amants, quand celui ci mourra et que tu restes en plan l’éternité entière ? Alors c’est plus simple pour toi de les rejeter tous…

Ce fut la tirade de trop. Il avait prononcé ET le nom d’Hikaru, ET le nom de Bjorn. C’en était fini de lui, j’allais le réduire en charpie. Je me jettai sur lui sans plus de cérémonie. Il glissa sur le côté, mais je m’étais déjà battu contre lui, je connaissais ses tours. Cette fois ci, il ne m’aurait pas…j’agrippai ses cheveux et tirai de toutes mes forces. La tête du garçon-serpent roula sur le sol. Un geyser de sang s’épancha sur le sol, venant former une mare au pied du feu. Haletant, je considérai le corps étêté agité d’un spasme. Cela avait été plus facile que je ne l’avais imaginé. Je tremblais toujours de rage, et il se passa plusieurs minutes avant que je ne pusse reprendre contenance. J’allais éteindre le feu quand la voix d’Ichiro retentit :

- Prévisible.

Et je me réveillai en sursaut, plongé dans le noir. Perturbé, je me recroquevillai sur moi même. Cela n’avait été qu’un cauchemar, un sale et pénible cauchemar. Rien de toute ce qui s’était passé n’était réél. J’étais dans un tel état d’agitation que je ne remarquais pas tout de suite la silhouette qui se découpait devant l’entrée de la grotte. Il faisait jour. Clignant des yeux, je distinguai à peine les traits de la personne qui me faisait face à quelques mètres de distance. Mais son odeur le trahit. Ichiro. Calme et assuré, à son habitude, pas de tout effarouché de me voir en guenilles, à moitié couvert de terre.

- Ca s’est passé exactement comme prévu. Tu as rêvé de moi, pas vrai ? C’est chouette ton don d’empathie, il fonctionne même quand tu dors…je pourrais te faire rêver de n’importe quoi.

Merde. J’aurai vraiment souhaité l’avoir tué, celui là. Dès qu’il ouvrait la bouche, il me tapait sur le système. Je voulus parler mais les mots ne venaient pas. A vrai dire, je n’avais pas parlé depuis mon départ de l’hôpital. Le Serpent me lança un objet. Par réflexe, je le réceptionnai. C’était monsieur Nounours, la peluche de Noriaki.

- C’est de la part de Nori. Il t’aime bien ,et il voulait te la donner avant de partir.

J’eus du mal à percuter…Puis je me souvins de ce que me disait le jeune interné….que son cousin était venu le récupérer pour rentrer chez eux…et s’il y avait bien une personne capable de s’enfuir de cette ile, c’était bien le rouquin et sa langue bifide.

- Et oui, nous partons, dit Ichiro sans me laisser le temps d’en placer une –ce qui était plutôt pratique parce que j’en étais incapable, Noriaki est guéri, selon lui c’est grâce à toi…donc comme je t’en dois une…je vais te laisser quelque chose en échange…des indices qui vont peut être te permettre de te faire un chemin…

Je grognais…je n’avais pas vraiment envie qu’il me laisse quoi que ce soit ce fichu reptile. En même temps, je sentais que protester ne servirait pas à grand chose.

- Première indice, il faut accepter de recevoir, deuxième indice, il n’y pas de honte à ne pas être assez fort…Et troisième indice…voilà ce qu’ »amour » veut dire.

Et il posa sa main sur le collier qu’il portait autour du cou. Le sentiment me percuta en plein dans l’estomac. C’était son sentiment à lui, mais ce fut comme une vague étrange qui m’envahit. Quelque chose de si fort que c’en était presque douloureux, mais c’était une douleur qui se rapprochait d’une lumière claire et chaude. Cela avait une odeur de pluie et de jasmin, c’était comme regarder le soleil sans jamais être ébloui, c’était comme redevenir entier, comme si je me sentais complet. C’était comme si « être seul » n’avait plus de sens….ne voulait plus rien dire.
Ichiro laissa retomber son bras le long de son flanc sans rien dire. Je le sentais nostalgique. Je compris que ce sentiment, il l’avait éprouvé pour quelqu’un. Et qu’il me l’offrait à moi, qui ne saisissait toujours pas la valeur de ce sentiment.

Qui ? demandai-je du regard.

- Elle s’appelait Mitsuko.

Il sourit, dévoilant ses crochets de serpent.

- Voilà, nous sommes quittes, dit-il en tournant les talons, garde Monsieur Nounours, ça fera plaisir à Noriaki.

Et il disparut. Comme une ombre. Je ne cherchais pas à le suivre. Je savais qu’il prendrait soin de son cousin, et que de toute manière, tout irait bien pour eux deux. Ichiro était assez fort pour soulever des montagnes et le protéger du monde entier.
Je sortis lentement de la grotte, levant les yeux sur un paysage ensoleillé. Le ciel bleu me parut éblouissant.
A ce moment précis, j’envisageai pleinement l’idée de redevenir Drake. Repartir de zéro.
Dans le firmament, un aigle dessina un cercle harmonieux.

Je mis quelques heures pour retrouver le chemin de l’hôpital. J’étais dans un état assez pitoyable, ainsi pris-je soin de me faire discret. Heureusement, j’étais un vampire ! Je faillis rire. Pour une fois que je trouvais un avantage à ma nature maudite ! Je rasais les murs sans me faire remarquer. Je devais avoir de la chance, car personne ne se baladait dans la cours. J’escaladai sans trop difficulté un mur pour me retrouver sur le rebord d’une fenêtre. Pas n’importe laquelle. Doucement, je tapotai au carreau, attendant que mon créateur me remarque.
Eyvind Whitthall

Eyvind Whitthall
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